Apocalypse (PJ) Now

Je le regarde, surprise par ce qu'il m'a dit mais physiquement pas trop atteinte, je m'en remettrais j'en suis sure...

D'accord.

Je regarde une derniere fois mon parrain, me penche et l'embrasse sur le front.

Au revoir.

Le Docteur tend une valisette à Cerise et lui ouvre, à l'intérieur se trouve un Lüger, exactement le même que Mabuze du canon au dessin de la crosse. Puis il lui demande de sortir sa dague a lancé.

"Voilà l'arme qui a tué ton père, ce pistolet et l'arme qui a tué ta mère c'est la dague que tu ceint. Elle est maintenant chargée de ta haine et de ta combativité grâce à ça tes parents seront vengés et pourront reposé en paix."

Je prends la dague et, délicatement, l'enfonce dans le torse de cette personne, en faisant ca je me mets à pleurer, seulement une larme ou deux, rageusement je les éssuie. Je le regarde une dernière fois, vise sa tête et tire. Je dépose le luger et sors de la tente.

Mabuze prit une paire de gant chirurgicaux et de quoi nettoyer puis tout doucement nettoye la lame, il retire la balle du crâne du mort, esuye le sang qui coule et y mets un pansement pour enfant en forme de poisson. Il y dessine un petit soleil, puis après avoir tout rangé et tout nettoyé il sort rejoindre sa protégée et la prend dans ses bras...

"Là ma douce, tu as été courageuse..."

Je n'ai pas envie qu'il me prenne dans ses bras, ou plutot si, enfin je sais pas...il vient defaire s'écrouler l'édifice de ma vie...ou sont les bons?, et les méchants?

Laisse moi, me touches pas. C'est pas juste.

Je fonds en larme comme une enfant, une gamine. Je veux pas j'essaye de retenir chaque larme. je me mords les lèvres mais rien n'y fait j'ai tué la personne qui m'a élevé et en plus j'ai vengé des parents que je ne connais pas ...

Il ne bronche pas quand elle le repousse, il essaye de la rassurer.

"Chut ma douce, je n'ai jamais dis qu'il y avait une justice dans ce monde...Le seul moyen qu'il y en ai une c'est de se battre pour elle... Tu as le droit de pleurer et d'être en colère, de tout casser, de me frapper si tu veux mais ce qui est fait est fait... Maintenant tu sais, si je n'avais jamais été là tu ne serais qu'une machine à tuer sans sentiment pire que tout les hommes qui se trouve ici... Pire que lui, tu sais il avait des remords c'est pour ça qu'il t'as receuilli, il n'as pas su te tuer... Tu ressembles trop à ta mère..."

Ma mère?

Je me réfugie dans ses bras et peu à peu je me calme...

"Oui ma douce, tu mère...C'était une femme merveilleuse et très belle tout comme toi..."

Il ressere son étreinte comme si il ne voulait plus qu'elle parte, ils resterent là pendant une vingtaine de minutes...La brise balaya doucement le sable, leur manteau claqua au vent et la lune était belle, étincelante.

Je déssere l'étreinte.

Viens, on y va.

Je renifle et le tire par la manche.

Il sort un mouchoir en dentelle violette et le tends à Cerise puis il l'attrape par la main...

"Oui, je crois que nous sommes attendus."

Il eu un léger bruit de glissement aigu, puis un choc ...

« Aie ! Putain fait chier ! » S’écria Shade en se frottant la tête.

Celui-ci venait en bavant sur la vitre à laquelle il était adossé de glisser pour percuter la portière.
Il remarqua qu’il n’avait plus de veste sur lui et donc il était à présent tout en noir.

« Bordel qui m’a pris ma veste ! » il paraissait de mauvaise humeur et sortit du hummer.

Il vit le Docteur et la fillette arriver, celle-ci avait sa veste mais elle semblait bouleversée ...
Il vint à leur rencontre, on ne le voyait presque pas dans la nuit noire.

« Excuse moi, heu ... pourrais tu me rendre ma veste, c’est un de mes derniers souvenirs du passer ... »

De mon ptit observatoire improvisé je vois de l'agitation. Enfin un peu de'action? Je me dirige vers le groupe et demande : Quand est-qu'on y vas?

"Oui on va y allés. Nico et Daïya vous prenez le fourgon, Shade vous allez conduire le hummer et Zazie et moi monterons avec vous. Allez en avant, il faut qu'on s'en aille au plus vite."

une fois dans le hummer je mets ma tête sur l'épaule de mabuze et m'endors

"Oui sauf que vous n'allez pas y allez par la porte normal. Avancez jusqu'au fond du camp, là il y aurait une légere faille dans la cloture foncer dedans pour la défoncer et ensuite avancez tout droit jusqu'à la route."

Je suis le hummer, mon fourgon fais moins de dégats mais je crains quand même pour le matériel. J'éspère que les disques durs survivrons.
Il réveille ensuite Daïya d'une voix douce : Reveille toi...

Je les rejoints, puis me range et, avant de désendre de voiture je demande a Daïya : Tu crois qu'on pourras se reposer?