La solitaire

"bien chef cela ne se reproduira pas je vous lepromet"

Quand je lui réponds je ne le regarde pas et d'un ton neutre. Puis, en récupérant l'afiche, je vais manger et boire un petit coup, assise sur le sable chaud du désert.
Après ça, je retourne voire Ivan pour lui parler du convoie

" Quesque tu foutai dans le convoie tout a l'heur, le chef il à pas l'air content !!"

je parle assez bas pour que personne entende.

"dites toujour ..."

Je regarde de qui vient l'apelle et je ne perd pas le convoie de vue

*enfin ma paie arrive !!! *

"je vais y réfléchire mais si jamais je faisait ce que vous me demander, comment être sûr que vous allez me payer?"

Je fais une pause puis je reprend, après le choc qui vient de mettre infliger:

"et puis qui êtes vous ?"

*Tuer Ivan, le seul être que je connaisse réelement, mais qu'ai-je fait pour ça ?*

Aussitôt je remet le moteur en marche et accelère un bon coup pour repasser devant le convoi. Je devait me débarasser de Ivan à tout pris, cela devenai une évidence pour moi. Mais il restai un ami et en générale on ne se sépar pas comme cela de ces ami !

C'est sur cette impression de doute que je continu ma route, devant le convoi en faisnt vrombir mon moteur. Je m'interroger, cherchant une réponse à ma question :

*Qui pourrai me demander une chose pareil ? Le chef ...... possible. Ivan ? biensur que non ! Ce qui est sûr c'est que cette personne me connai, et il a le moyen de me parler donc une personne qui possède une radio! Oh je m'embrouille !

Durant tou le voyage je me contante de réfléchire sur le sujet.

Je prend la liasse tendu par mon ex-patron et tire Ivan par le bras dans une petite ruelle ombragée. Puis arriver là je m'adresse à Ivan d'une voix presque inodible et imperturbable :

"on vat suivre le convoie discretement et voir où il entrepose leur "marchandis" puis on vat prévnir les gardes de leur position ! quesque t'en pense, on peut se faire un peu de blé ?

Tout en parlant, j'observe le convoi, près à le suivre le plus discretment possible si il part.

je répond d'un air serin au garde :

"aucune questions pour l'instant, mercie quand même"

Une fois que le garde s'éloigne (pas trop non plus) je m'adresse à Ivan

" alors on fait quoi ? moi je suis perdu dans tout ça !

"t'as raison, on les suit et quand on arriver là bas on voit ce qu'on peut fair"

Aussitôt dit aussitôt fait je démarre ma moto et je laisse un peu d'avance au convoie, puis je commence à suivre le convoie, dans la circulation active de cette journnée.

Lorsque Ivan lache ses jumelles, je m'approche de lui et je lui dit sans retenu :

"pendant notre petit escapade, quelqu'un m'a contacté pour me dire que ce serait bien que te fasse taire ! Mais perso, j'ai pas trop envie de te faire quoi que se soit !!

je fait une courte pose pour regarder dans mes jumelles que le camion est toujour là puis je reprends :

" si je ne leur obéisse pas, je ne donne pas cher de ma peau, et de la tienne au passage ! alors si tu pouvait ne plus donner signe de vie ... Je sais c'est dur mais là c'est nos deux vies qui sont en jeu !!

Je parle d'une voie basse est calme pour montrer à Ivan que je suis avec lui :

"Je pense qu'on devrait d'abord s'occuper d'eux"

Je montre du doigt le camion maintenant à l'arrêt puis je reprends :

"On en reparlera après... je sais pas se que tu en pense ? Pour l'instant on ferait mieux de suivre notre "petite" piste !

Tout en parlant, je jette de temps à autre des coût d'oeuils au convoi, pour pas qu'il nous echappe, même si cela parrait iréelle puisque nous sommes en plein desert, mais bon ! on sait jamais !

j'éteind le moteur de ma moto sportive rouge, tout en scrutant les traficants qui sont occupés à camoufler leur vehicule. Puis, une fois alongée sur le sable chaud, je m'adresse à Ivan :

" qu'est-ce que tu propose maintenant ? moi j'dirai qui faudrai mieux prévnir les autorités ! On pourai aussi s'aprocher pour savoir de quoi ils parlent ...

je réfléchi quelque instants puis je déclar a mon ami :

" bon ok, j'ai une petite idée : je vais prévenir les autortées, je vai au Sables. Si j'aimai ils bougent

Je pointe du doigt les trafiquants puis reprend :

" tu les suis et tu essai de me joindre ok ? Je sais c'est risquer mais je vois que ca ! A moin que tu ai un téléphone ?

Puis, en atenden la répnse, je monte sur ma moto sans l'allumer pour évité d'attiré l'atention.

En regardant le convoi "numéro 2", une poussée d'adrénaline m'envahit, je remonte sur ma moto puis redémare en trombe. Malgré la fatigue qui comence à se faire ressentir, je ne peux m'empêcher de lâcher :

"J'avais besoin de ça !"

Dès que j'arrive en vue des Sables, je ralenti, cherchant un poste, un garde, ou le moindre signe des autoritées. Dans ma tête mille pensées me perturbe :

*Que fait Ivan à ce moment? suit-il le convoi ? C'est-il fait repéré ? Où trouver de l'aide ? Il est peut-être déjà trop tard ! ...*