Lorenza Giovanni

PRÉNOM : Lorenza
NOM : Giovanni
SURNOM : /
RACE : Humaine
MUTATION ou TECHNO ou HYBRIDATION : Aucune
AGE : A peine 16 ans
PHYSIQUE: Blonde à deux longues nattes, yeux gris et typée italienne. A le physique d’une gamine d’à peine 16 ans en pleine croissance.

SANTE
-En pleine forme

RÉSISTANCES

CARACTÉRISTIQUES
Adresse : Bon
Agilité : Correct
Apparence : Bon
Chance : Moyen
Charisme : Très faible
Force : Mauvais
Intelligence : Correct
Mental : Mauvais
Perception : Correct
Pouvoir : Très faible
Réflexes : bon
Vitalité : Moyen

COMPÉTENCES

Corps à corps : Initié
Physique :Initié
Tactique :Connaisseur
Tir :Connaisseur

Manuel : Profane
Médical : Novice
Pilotage : Novice
Survie : Profane

Art : Initié
Business : Profane
Savoir : Initié
Sociabilité : Incompétent
Technologie : Profane

Alchimie : Incompétent
Fluide : Incompétent
Psionique : Incompétent
Rituel : Incompétent

SPÉCIALITÉS
Frappes en finesse, Flingueur, Technique de Terrain (Urbain), Furtivité, Violon, Alphabétisme

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PHYSIQUE

Lorenza est typiquement la jeune fille qui dégage tout le charme des italiennes d’avant-guerre, même si ça ne se limite qu’à ça. Elle pourrait en effet avoir le rôle de la femme fatale si au moins elle s’y connaissait un minimum en relation social. L’a-t-on déjà vu sourire ? C’est simple, cette fille a été formatée depuis son plus jeune âge pour tuer, on ne peut pas dire qu’elle aura eu une enfance normale. Elle a donc le charme italien, Lorenza est destinée à devenir une belle femme mais ça ne se limite qu’à cela. La jeune fille est pourvu de deux longues nattes blondes qui lui tombent jusqu’aux cuisses. Yeux gris, un teint bronzé, qu’elle porte un nom d’origine italien n’est pas un hasard. Encore en pleine croissance, elle mesure 156 centimètres pour une cinquantaine de kilos, Lorenza n’a pas un poil de graisses car plutôt sportive en raison de ses activités quelques peu particulière pour son âge. Assez soigneuse envers elle-même, détails assez rare vu cette période, elle sait se montrer assez féminine mais est loin d’être une aguicheuse. Lorenza porte souvent une simple jupe et un pull ainsi qu’une paire de bottes pour femme. On la voit rarement sans une veste et c’est souvent une en cachemire noire où elle peut se permettre de ranger un holster tout en amortissant les mauvais coups.

MENTALITÉ

Pas très sociable la donzelle, c’est ce que l’on retiendra surtout de la ritale. C’est simple, il faut s’enfiler dans le crâne qu’il s’agit d’une tueuse à gage, pas de quoi lui placarder sur le front « professionnel » à cause de son jeune âge mais les réflexes et les capacités sont belles et bien présentes. Formatée par son père, elle a les raisonnements d’assassin et l'absence de moral pour atteindre ses buts, essayant de refouler le plus possible ses sentiments car le contraire reviendrait à se prendre une belle raclée. Cela finira par provoquer une nature assez froide, une certaine incompréhension envers les autres si ils ne suivent pas une certaine logique : elle comprendra pourquoi quelqu’un se bat pour la vengeance, pour l’argent ou pour la survie, son but étant de comprendre ses ennemis pour mieux les éliminer mais les termes « sens du sacrifice » ou « loyauté aveugle » resteront pour elle un mystère. Ne parlons même pas de la façon de résoudre les contrats, une balle perdu sur un innocent n’est que pour elle qu’un dommage collatéral et un témoin n’est rien d’autre qu’un imprévu ! Non pas qu’elle soit mauvaise, cette fille a juste été formatée et pour elle c’est normal. Ceux qui connaissent son passé ne peuvent que la plaindre avant de la haïr.

Car qu’est-ce qu’elle sait faire d’autres à part tuer ? Pas grand choses… Si Angelo lui à laisser une certaine éducation, c’est qu’il n’aime pas les idiotes et qu’elle doit savoir lire un manuel pour mieux comprendre un manuel sur l’anatomie humain ou sur telle ou telle société pour mieux s’y fondre. Pour faire simple, Lorenza n’a tout simplement pas de vie. Il a tout fait pour qu’il n’en ait pas, qu’elle se montre utile car sans ça elle n’est rien. Ses hobbies reviennent donc à s’entrainer et à vider un chargeur sur une cible quand bien sûr cette dernière n’est vivante. Ses quelques passes temps d’à peu près potable ? Lorenza aime bien les bons vins et le violon.

C’est donc un iceberg que l’on n’approchera pas facilement, qui cherchera à éviter tout contact pour quelques choses qu’elle ne comprend pour ainsi dire pas puisqu’il s’agit d’ici d’une incompréhension suivi d’une certaine peur : Les sens de « camaraderie » et « s’amuser », elle n’y voit que « partenaire », « relation professionnel » et « indic ». Lorenza est donc pour ainsi dire complètement à côté de la plaque sur certaines choses frôlant la stupidité pour certaines personnes, son père lui ayant tout simplement volé son enfance !

HISTORIQUE

Dire que les Etats-Unis d’Amérique est un pays où règne l’égalité est un pur mensonge. Les riches et les puissants vivent avec tous le confort et la sécurité et les pauvres n’ont juste qu’à ramasser les restes. La moralité de l’histoire ? Que l’on soit honnête ou non ne change pas grand choses à cette affaire. Les bombes de la guerre peuvent en témoigner ! Les Giovanni, originaire de Sicile ont fait comme beaucoup d’immigrants au début du XXème siècle : tenter leur chance aux Etats-Unis. Ils ont réussi en trouvant leur place dans l’illégalité. Les années passent et même si leur pouvoir ont connu des hauts et des bas, le fait qu’ils ont leur petites influence avec la petite fortune qui suit fait qu’ils ont toujours trouvé leur place dans l’ancien monde. Au fil des années, la guerre faisant rage, il n’est guère étonnant que certains membres de cette famille aient acheté à prix d’or leurs places dans un abri privé avec tout le confort qui s’en suit. La guerre finissant par être expédier à coup d’armes atomiques et bactériologiques, on n’entendra plus parler d’eux pendant plusieurs générations.

Les années passèrent tranquillement. A défaut d’avoir gardé leur hargne, les Giovanni ont beaucoup perdu de leur patience et les lois ne sont plus les mêmes qu’avant-guerre. Suite à un désaccord avec le superviseur et surtout pour avoir eu les dents trop longues, Agastino, Angelo et sa femme Elda finiront par être exiler de la petite communauté sans savoir que cette dernière était enceinte. La première action des « frères Giovanni » sera de vendre tout simplement la localisation de l’abri à une bande de pillards pour s’offrir un joli pactole pour recommencer leur vie dans les ruines de l’ancien monde avant de continuer chacun sa vie de son côté, l’un ayant pour but de se construire sa petite mafia alors que le plus jeune et sa femme n’avait qu’une envie, de découvrir ce nouveau monde qui s’offrait à eux pendant quelques années.

En réalité, ils ne le découvriront que quelques mois car c’est la naissance de Lorenza qui mettra fin à tout. Les moyens médicaux n’étant pas les mêmes que dans un abri, Elda mourra en couche, laissant un Angelo assez dégouté de lui laisser une « chialeuse » au lieu d’un fils qu’il espérait voir devenir fort. C’est donc avec un certain mépris qu’il acceptera cette fille et à contrecœur qu’il se sédentarisera. Et puis la Californie ce n’est pas si mal. New Vegas étant trop mal famé avec une gosse sous les bras, c’est donc entre Los Angeles et Port-Poussière qu’il se reconvertira en tueur à gage. La gamine ? Ca pourrait être un bon partenaire, si elle ne l’est pas elle est tout juste bonne à être vendu pour une poignée de dollars. Cette idée lui a effleuré l’esprit plus d’une fois pour une fille qui lui a enlevé la femme qu’il aimait !

L’enfance de Lorenza ne sera pas comme les autres et qu’elle sera lobotomisé à tuer et à ne rien faire d’autres. Le peu de personne avec qui elle a eu une conversation normal l’évite pour la simple et bonne raison que son père n’hésitant à coller quelques mandales à des gosses qui l’approchaient. A ses 6 ans, il lui fait appuyer sur la gâchette d’un révolver en direction sur un voleur à moitié sonnée alors qu’elle n’est même pas en âge de comprendre ce qu’est la vie et la mort et encore moins la différence entre le bien et le mal. La récompense ? « C’est bien ma fille. » ! Les années qui suivent ne sauront guère avec l’exécution de son premier contrat en profitant de ses airs de gamines : le malheureux type d’en face aura à peine compris qu’une gosse puisse pointer une arme dans sa direction quand il lui tournera le dos ! Lorenza est un monstre ? Non, Agastino en ait puisqu’il a foutu en l’air l’enfance de sa fille pour son propre compte !

Elle commencera réellement à servir de partenaire à ses 13 ans même si son nom ne sera que rarement citer, ne faisant qu’obéir et à rester surveiller les arrières et ce sans vraiment réfléchir si elle avait une quelconque intérêt pour son père, n’étant pas habituer à ce genre de réflexion. A ses 14 ans, c’est quelques missions solo sans réel importance qu’elle fera. N’ayant aucun répondant face à un père qui l’a formaté, elle ne fera qu’obéir sans réfléchir aux conséquences. Enfin la seule personne qui n’a pas vraiment penser aux conséquences ici, c’est bien son père.

A vouloir jouer avec le feu, il a fini par s’y bruler. C’est lors d’un soir de pleine lune, dans les environs de Los Angeles en revenant de New Vegas après avoir entendu parler de la mort de son frère Agastino que la camionnette de la famille se fera attaqué. La cible est simple, c’est Angelo. Et une attaque à l’arme lourde sur une camionnette pardonne rarement et qu’il y reste lors de l’attaque ne serait que justice. Le problème ici c’est que Lorenza est aussi prise pour cible. Elle aura tout juste le temps de sauter de la camionnette lors de l’embuscade.

REPUTATION