Jahia Meeshka

PRENOM : Jahia
NOM : Meeshka
SURNOM : aucun, à la rigueur "peau verte" mais c'est assez commun à tous les orcs...
RACE : Demi-orque
MUTATION ou TECHNO ou HYBRIDATION: aucune
AGE : 26 ans
PHYSIQUE: Un bon mètre quatre-vingt, peau verte, cheveux rouges, yeux verts, silhouette svelte, visage fin avec de longues oreilles, presque elfiques.


SANTE : Pas de blessures

RESISTANCES :
Une armure et des gants, le tout de cuir.

CARACTERISTIQUES :
Force : Bonne
Vitalité : Normale
Agilité : Très bonne
Adresse : bonne
Perception : Bonne
Apparence : Bonne
Réflexes : Normaux
Intelligence : Mauvaise
Mental : Mauvais
Charisme : Normal
Pouvoir : Bon
Chance : Normale

COMPETENCES :

Corps à corps : Technicien
Tir : Connaisseur
Tactique : Novice
Physique : Connaisseuse
Fluide : Initié
Aura : Initié
Alchimie : Incompétente
Rituel : Profane
Manuel : Connaisseuse
Medical : Initié
Savoir : Profane
Technologie : Profane
Pilotage : Connaisseuse
Survie : Technicienne
Sociabilité : Connaisseuse
Business : Connaisseuse
Art : Profane

SPECIALITES :
Art martial (capoeira), Acrobate, AuraBaseur, Serrurière, Danse (en relation avec la Capoeira uniquement), Flingueur, Séductrice, Dure à cuire, Négociatrice.

EQUIPEMENT:

Cash : 200$

armes:
-gants de frappe
-bottes ferrées
-fusil à pompe(7/7 balles cal.12)
-2 cocktails molotov


munitions/ingrédients :
-9 cal.12 dont 6 balles 3 chevrotines

Vêtements/armures :
-Pantalon de toile
-bottes de marche ferrées
-tunique de toile
-armure de cuir
-gants de cuir

bijoux :

Divers :
-corde
-lampe
-gourde d'eau (pleine)
-nourriture (viande séchée) pour 6 repas
-jumelles
-couteau
-briquet
-crochet de serrurier
-lunettes de soleil pour avoir la classe même en plein désert. Surtout en plein désert en fait.

contenants :
-sac à dos

GRIMOIRE:

Spoiler:

VEHICULES :

Spoiler:

PHYSIQUE :
Jahia est assez grande (1m80), et elle a hérité de son ascendance orque une peau verte et des cheveux rouges, mais alors vraiment rouges, qu'elle coiffe en une tresse qui descend sur sa poitrine. Une silhouette svelte et élancée cache son réel potentiel musculaire : elle n'est pas très carrée, mais pourtant elle a de la force. Surtout dans les jambes en fait. Elle a également de jolis tatouages tribaux d'une couleur rouge orangée sur le visage et les épaules. Selon le chamane tribal qui lui a fait, ils sont sensés être magiques et la protéger du mauvais sort, mais en fait, ils ne sont que purement décoratifs.
Jahia a également de longues oreilles en pointe, presque elfiques, mais beaucoup moins fines. Ces oreilles sont d'ailleurs constellées de piercings divers, des anneaux de métal. Elle porte un collier de petites dents d'origine inconnue.

HISTORIQUE :
Née dans un petit village tribal humain, elle est la fille d'un pillard orc qui a violé sa mère lors d'un raid. Les membres de la petite tribue ne l'ont pourtant pas rejetée, puisqu'elle était la fille de l'une des leur, au moins à moitié. Elle a donc grandit dans ce petite village, et pour surseoir au pillard qui n'est bien évidemment pas resté pour s'occuper de sa fille, c'est son oncle qui a tenu le rôle de père. D'ailleurs, c'est aussi sa tante qui a tenu le rôle de mère, puisque sa mère naturelle ne voulait pas s'occuper de cet enfant conçu par le viol. Ce qui est humainement compréhensible, mais pour la petite Jahia, c'était pas très cool.
A part ça, une enfance à peu près normale permit à Jahia de grandir et de s'épanouir convenablement. Remarquant très vite l'agilité naturelle de la petite, sa tante lui a enseigné la capoeira. Elle-même était THE danseuse de capoeira dans le village, c'était donc tout naturel pour elle. Jahia afficha vite de réelles prouesses, vers l'âge de 12 ans elle était déjà capable d'acrobaties spectaculaires. Sa souplesse et sa dextérité n'étaient plus à prouver.
Son oncle, un mage assez puissant, tenta également de lui apprendre à canaliser les flux magiques, mais Jahia était bien moins douée dans ce domaine. Elle se souvint juste des sorts les plus basiques, qui pourraient bien lui servir un jour. Par contre, elle appris à bien maîtriser les auras basiques, mais sans pousser l'enseignement plus loin.
Et la vie s'écoulait paisiblement. Trop paisiblement, en fait : les gènes de son père appelaient Jahia à plus d'action, à une vie plus rythmée. C'est pourquoi, dans l'année de ses 21 ans, elle partit du village, tranquillement, en remerciant juste sa tante et son oncle de l'avoir élevée, et en leur promettant de revenir un jour les voir.
Jahia trouva de l'action en rejoignant une petite bande de pillards, après s'être assurée qu'aucun orc ne faisait partie du groupe. En fait, son but était de trouver son père. Pour le tuer, bien entendu. Elle resta donc avec cette petite bande miteuse, commettant des raids avec l'espoir de trouver un jour son géniteur. A vrai dire, elle s'en foutait un peu de devoir zoner avec des loques et tuer des gens. Tout ce qui comptait, c'était qu'elle bouge et qu'elle voit du pays. Sa maîtrise de la capoeira n'étant pas suffisante pour vivre parmi des pillards et raider de pauvres petits voyageurs, elle apprit diverses choses : manier des armes à feu, conduire des véhicules terrestres, réparer lesdits véhicules, ouvrir les serrures récalcitrantes autrement qu'avec une balle de calibre 12, soigner ses potes, négocier avec des marchands les biens saisis lors des pillages, séduire les hommes pour arriver à ses fins, et survivre en plein désert.
Et puis, après 3 ans de pillages, elle trouva enfin ce qu'elle cherchait... Sa bande cherchait à revendiquer un territoire occupé par une bande rivale, affaiblie et offrant peu de résistance. Le combat qui s'en suivit tourna à l'avantage des compagnons de Jahia, et c'est alors qu'elle se rendit compte que le chef ennemi lui ressemblait étrangement. Celui-ci aussi sembla s'en rendre compte, puisqu'il demanda à arrêter le combat. De toute façon, il n'avait plus qu'un type vivant sous ses ordres... Commença alors une discussion entre Jahia et son père, afin de s'assurer que le lien de famille existait bel et bien. L'orc reconnu avoir pillé le village de Jahia, 24 ans plus tôt, et violé une femme. Il s'agissait donc bien de lui. Selon les codes des pillards, si un enfant de chef était placé dans une autre bande, alors la bande était sous ses ordres. Mais Jahia ne l'entendait pas de cette oreille, qu'elle avait pourtant grande : quel ne fût son plaisir lorsqu'elle désintégra les testicules de son cher papa à la chevrotine, à bout portant, avant de lui briser la nuque d'un coup de pied retourné...

Son objectif accompli, elle n'avait plus vraiment de but à atteindre. Elle resta avec les pillards encore 2 ans. Malheureusement, la bande s'affaiblit : ils avaient trop de territoire à contrôler et pas assez d'hommes. Dispersés par groupes trop petits, les hommes mourraient facilement, surtout quand d'autres bandes de pillards les attaquaient.
La bande finit par se regrouper, reprenant une vie d'errance et de raids. Très affaiblis, la dernière chance des compagnons de Jahia était de trouver des cibles faciles pour se refaire. Ils trouvèrent un petit groupe de chercheurs, apparemment sans défenses. Pensant être tombés sur l'occassion du siècle, ils les attaquèrent, sans se douter que les chercheurs compensaient leur inefficacité en combat par la technologie : un tir de pistolet-laser, ça picote un peu quand même...
Bref, au terme de la confrontation, il ne restait plus beaucoup de monde. Du côté des pillards : le chef, Jahia, et deux hommes. Du côté des chercheurs, ils n'étaient plus que trois. Les scientifiques étaient vaincus et capturés, mais la bande de pillard n'était plus que l'ombre d'elle-même. Se demandant ce qu'ils allaient faire des prisonniers, le chef entra dans une espèce de trance folle, rêvant de gloire, expliquant à ses hommes comment ils allaient se remettre et redevenir un vrai groupe de pillards, plus fort que jamais, craint par tous, ce genre de conneries. Jahia tenta gentiment de lui ramener les pieds sur terre, lui demandant de se calmer. Mais lancé dans ses idées folles, le chef se péta un délire dictatorial, ordonnant à Jahia de lui obéir, allant jusqu'à l'insulter et l'appeler "sale hybride". Depuis ce jour, Jahia n'aime plus les chefs. Et comme elle n'est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds, elle fit sauter la tête de son chef d'un tir de fusil à pompe, histoire de lui apprendre les bonnes manières. On peut être pillard et gentleman, bordel !
Seulement, la situation posait désormais un problème : il restait tout de même deux autres hommes de la bande. Ceux-ci ne pouvaient rester avec Jahia, qui venait quand même de tuer leur chef, mais ils l'appréciaient, et lui était reconnaissants d'avoir éliminié ce type qui virait au dictateur fou. Donc, ils partir, tout simplement. Et Jahia resta seule avec les trois prisonniers. Comme elle avait eu son quota de violence pour la journée, elle décida de les libérer. Deux des scientifiques, trop heureux, se barrèrent à tout vitesse au volant d'un buggy laissé par les pillards malencontreusement morts. Le troisième, un dénommé Akira, semblait par contre en avoir un peu marre de passer sa vie à étudier des trucs complètement débiles. Il remercia Jahia, et après qu'ils eurent réfléchi quelques secondes à ce qu'il fallait faire, ils partirent ensemble, dans un superbe 4x4 Ford dont l'ancien proprio était le chef de Jahia. La demi-orque ne se souvient plus trop si c'est elle qui a invité le jap', ou si c'est lui qui a demandé à l'accompagner. Et à vrai dire, elle s'en fout.

Bien qu'à priori, Akira et Jahia ne s'entendent pas trop, car ils passent le plus clair de leur temps à se vanner réciproquement, à se foutre de la gueule l'un de l'autre et à se dire de sympathiques méchancetés, en fait ils sont assez complémentaires. Et puis, s'ils ne se serrent pas les coudes, personne ne les aidera à leur place...

C'est ainsi qu'avec son compagnon de fortune, au volant du 4x4 du chef pillard qu'elle avait elle-même tué, Jahia devint "chasseuse de trésors", baroudeuse du désert allant à droite à gauche, sans réel but à part celui de pas trop s'emmerder dans ce monde plein de surprises.

REPUTATION :
vaguement connu chez les pillards.