caravane LA- les sables

But: faire la traverser sans sencombre

prime: 180$

Lucio s'avance vers la caravane. Il tient sa monture par la bride.

Bonjour... Caravaniers. Nous... Cet homme et moi allons vous escorter. Ne vous inquiétez pas, je ferai la route à dos de cheval... Vous arriverez à bon port.

Il lance sa tirade d'un air assuré, malgré son air vouté et son apparente faiblesse.

*Reste à voir si cet elfe, avec son affiche, nous suivra...*

Comme d'habitude, je sors ma panoplie de sourire engageant avant d'appuyer la remarque de Lucio.

"Ouais, avec nous vous êtes tranquille ! Bon, il arrive l'autre elfe avec son pote humain ?"

(((Là, je sais pas si Farel vient. Disons simplement que, si il ne se magne pas, bien on ne retardera pas la caravane pour ça...)))

Voyant que Dimebag s'installe devant Lucio enfourche sa monture et se place au milieu de la colonne. Il tente d'aborder un nomade:

Bonjour... Euh... Comment vous allez? Dure vie que la votre... Tout le temps dans le... désert... Je voulais savoir, vous... vous avez remarqué quelque chose d'étrange, ces... ces derniers temps? Je sais pas, moi, quelque chose de plutôt inhabituel...

L'homme parait un peu étonné et relêve un sourcil.

"la vie de nomade n'est pas si dure, et c'est une bonne philosophie de vie qui me satisfait pleinement. Quant à l'étrange, et bien les routes commercial sont devenus trops calmes si vous voulez tout savoir. mon expérience me dit que quelques chose se trame..."

Très bien... Je vous remercie, alors...

Il continue à chevaucher en silence, se laissant balotter par sa monture, le regard braqué sur le désert.

J'arme ma carabine et aligne dans mon viseur un des humanoïdes au hasard. Comme je suis assis à côté du chef, je lui demande :

"Doit-on tirer maintenant ou les laisser approcher ? Moi, un groupe pareil, ça me donne pas envie de leur parler. Si ils n'étaient pas complètement hostiles ils auraient enlevé leurs capuches..."

Le groupe se rapprocher dangereusement.

"Il ne semble pas armé. je ne suis pas un pillard, je en tire pas sur tout ce qui bouge."

Lucio fronce les sourcils. Il garde les yeux fixés non sur les humanoîdes, mais sur les nomades. Visiblement, il attend le signal de passer à l'action... Il écarte ce faisant les bras, et canalise son énergie.


(((Si ils se lancent à l'assaut, je leur lance une explosion au milieu du groupe. Au fait, je me demandais, projection, ça atteint juste les ennemis, ou les amis aussi?)))

Je continue à les tenir en joue jusqu'à ce qu'ils soient assez loin de la caravane. Au moment où ils passent à proximité, je les compte. Puis je me tourne vers le chef et lui dis :

"Bizarre ça. Bon, on fait quoi chef ?"

(((HRP : Lucio est parti pour 4 jours, pas la peine de se presser)))

Tu comptes 10 individus précisement. L'un d'eux tourne la tête pour te regarder droit dans les yeux. C'est un humain, avec un regard plein de vie et de volonté. Il rabaisse un peu plus sa capuche puis continue sa route. Le chef nomade ne tergiverse pas pour répondre à ta question.

"gardez les en joue, j'ai vu des ruses de pillards plus efficace. Nous continuons notre route."

Je garde les individus en joue, et le regard de l'homme m'interpelle. Mais qui c'est ces gars-là ?
Je soupire. Si j'avais été seul, je serais aller voir. Mais j'ai une caravane à garder, je ne peux pas déserter mon poste. Une idée me vient soudain...

"Eh chef, vérifiez les alentours aussi. On sait jamais, ça pourrait être une diversion. Enfin bon, finalement c'est peut-être qu'une bande de fanatiques quelconques qui font leur promenade pastorale quotidienne."

A c'est mot un groupe de creature étrange jaillir du sol sablonneux. Une bonne vingtaine de créature visqueuse, recouverte de sable, avait jaillit du sol. Elles avait 2 pattes courtes mais étrangement musclés à l'arrière et 2 longues pattes à l'avant munies de griffes impressionantes. A ceci prêt, elle ressemblé à des taupes, en bien plus gros et plus filiformes. Chacune d'elle fesait à peu prêt la taille d'une brahmine.Une geule grande ouverte laissait âpparaitre 2 rangée de dents petites mais pointues. Le chef des nomades cria:

"butez moi c'est saloperie et vite"

Le groupe d'individu de tout à l'heure qui était déjà à une certaine distance, revinrent sur leur pas en courant, dégainant épée en tout genre. Il serrait sur le lieux de la baston dans peu de temps, mais il faudrait encore se battre seul face aux 20 creatures.

Lucio ne sourcille même pas lorsque les monstres du désert jaillissent, au contraire de sa monture. Il la calme néanmoins, puis baisse la tête et se concentre. Il tend une de ses mains vers un groupe de créatures des sables, l'autre main pointée vers les étrangers aux épées. Canalisant au mieux son énergie, il bande ses muscles et envoit deux boules de feu, une par groupe.

*Mieux vaut les calciner au plus tôt...*

Je fait feu à 2 reprises sur les créatures des sables, puis je regarde si les hommes encapuchonnés ont l'air de vouloir nous aider ou plutot d'être associés aux monstres.

"Attend Lucio, voyons déjà si les dingues avec les épées nous attaqueront !"

L'explosin touche trois de ces creatures d'une taille certaine. (33 points de dégâts)
Cela l'ai fait couiner comme des porcs qu'on égorge, mais leur hargne n'en ai que plus hardu. Dimebag explose la cervelle de 2 des créatures.
Le groupe d'encapuchonné se précipite dans la direction des caravanes armes en mains, dans un silence et à une vitesse déconcertante. Ils leur faudre encore quelques seconde avant d'arriver au lieu du combat. Les nomades dégomme la derniere creature blessé. Il reste 17 creatures du désert, qui se jettent sur vous sans somation. Rapidement elle déchiqute le chef des nomades. Puis se tourne vers vous.


dimebag: 200 xp level up
lucio miel: 200 xp level up

*Il nous faut plus de temps... Réfléchir!*

Levant haut ses bras, Lucio murmure un mot, prie silencieusement et finalement abaisse les bras.

*Sort de projection... j'espère que la chute sera douloureuse!*

Je m'assure d'être assez près de Dimebag pour ne pas le projeter. Par contre, je me soucie moins des nomades, la caravane semble presque déjà perdue... je souffle également les hommes aux capuchons